Bonjour à tous,
MCRIAZ écrit: ..... suivre précisément sa route en VFR est une exception. En IFR, suivre précisément la trajectoire prévue est un quasi contrat avec le contrôle aérien. Nous rencontrons un peu cette situation en VFR lorsqu'on suit un cheminement imposé.
Mais dans la majorité des cas, s'il fait très beau, chaque fois qu'on peut on fait route directe et quand il fait mauvais on passe par où c'est possible.
Pour moi, la préparation de la nav, fait partie du plaisir, au premier chef

(surtout quand le chef, ...c'est moi !....

).
Une fois en l'air, et après m'être posé (et élucidé)
au sol les questions de circonstances, ça "roule", car j'ai en mémoire les éléments déterminants (déformation professionnelle

), formalisés sur le papier..
Ça aide grandement pour laisser place à une improvisation raisonnée.

[/quote]
MCRIAZ écrit: De plus, il n'est pas conseillé de passer verticale des terrains sur la route, afin d'éviter les rencontres fâcheuses ou la proximité avec les avions en tour de piste, les planeurs, les voltigeurs, les paras, ... etc.
On est d'accord; on les prend comme WP... et on passe au loin.

(Le Mans, Buno, Avord, etc....).
MCRIAZ écrit: Le basculement automatique et pertinent vers le WP suivant, n'est donc pas inutile. Je dirais même qu'une alerte (à valider) annonçant la bascule et la route vers le nouveau point ne serait pas un gadget ...
Yes! absolument pas inutile. Nécessaire même. Selon une bissectrice plutôt qu'une sphère ? ? ?
MCRIAZ écrit: D'une manière générale tout ce qui simplifie la tâche du pilote est bon à prendre ...
Un système comme VFR, bien employé, est un facteur de sécurité, même si quelques discours d'arrière garde prêchent l'inverse. L'idée que la bonne pratique serait de naviguer avec la carte et de vérifier que le GPS est d'accord, me fait doucement marrer 
C'est pour cela qu'Olivier doit être grandement remercié ...
Je suis bien d'accord avec Michel sur tous ces points

;
Sauf que je n'arrive pas à me "débarrasser" de la présence rassurante du papier (carte et log); pratique aussi pour noter à la volée une info (fréquence, instruction du contrôle; etc...). Difficulté(s), probablement, à vivre dans une époque moderne ?!

Je peux peut-être suggérer que ces points de vue sont caractéristiques de vols-voyage (et avions "rapides") qui cherchent à s'appuyer sur un cadre avec branches de 15"/60km( sans négliger la sécurité) à la différence de vols locaux (vitesse ULM), tout aussi passionnants et captivants, qui passent de fermes en châteaux. L'attente est différente.
A 250km/h, sauf exception(s) j'ai la première approche.
Bonne journée.
Gilbert.